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Anthropologie ou Science générale de l'homme: Ethnologie, Tome I, [Lausanne], [1750]-[1788]
L’Ethnologie est la deuxième partie de l’Anthropologie ou Science générale de l’homme de Chavannes. L’enjeu de cette partie est de comprendre la sociabilité de l’homme et ses progrès dans la société. Ce premier volume de l’Ethnologie analyse l’homme primitif (ou sauvage) et ce qu’il l’a poussé à se réunir en peuplades. Le début du volume est consacré aux différences entre les nations, que ce soit sur le plan géographique, des climats et de ses progrès vers la civilisation. Chavannes reconstitue ensuite l’histoire de l’homme, de son origine à sa réunion en sociétés domestiques. Il commence par revenir à l’origine primitive de l’homme et décrit comment les premiers hommes se sont dispersés sur le globe pour former des peuplades. La fin du volume est consacrée à l’identification des premiers besoins de l’homme qui l’ont poussé à former des sociétés conjugales et domestiques.
La transcription de ce volume a été réalisée dans le cadre du projet "A. C. Chavannes et sa Science générale de l'homme (1788)", dirigé par le prof. Christian Grosse.
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Mots-clés:
- Arts
- Peinture/sculpture
- Histoire
- Histoire des peuples/nations
- Philosophie
- Luxe
- Progrès
- Sciences
- Anthropologie
- Société
- Traditions/coutumes
- Arts
- Elisabeth Holm (intégrale/fini) [afficher]
Public
Aucune date ne figurant sur ses manuscrits, il est impossible de dater précisément ce texte ni ses modifications; selon les indications fournies par le neveu d’Alexandre César Chavannes, Daniel-Alexandre Chavannes, le processus de rédaction s’est étalé sur quarante ans, soit entre les années 1750 et 1788.
Public
Une étiquette officielle de la Bibliothèque cantonale universitaire de Lausanne (BCU) a été collée au dos de la reliure lors du don de ce volume à cette institution publique, certainement par un bibliothécaire ou archiviste. Il est écrit: "DON FAIT À LA Bibliothèque Cantonale par Monsieur Chavannes Bugnon". Ce dépôt intervient selon les catalogues entre 1856 et 1886. Il est dû à un «Monsieur Chavannes Bugnon», dans lequel il faut certainement voir Georges-Sylvius-Adrien-Charles Chavannes allié Bugnon (1833-1893).