,
« Assemblée LXVI. Sur la prudence (2e partie) », in Extrait des conférences de la Société de Monsieur le comte de la Lippe, Lausanne, 03 octobre 1744, vol. 2, p. 328-339
- Société du comte de la Lippe (Auteur)
- Seigneux de Correvon, Gabriel (1695 - 1775) (Collaborateur)
Seigneux de Correvon établit tout d'abord une différence, selon la façon de faire des moralistes, entre vertu particulière et vertu générale. D'un point de vue général on peut dire que la morale et la religion sont les véritables sources de la prudence, en présentant à l'homme les objectifs à remplir sur la terre. La morale et la religion assurent une vie heureuse, tranquille et accordent le bonheur. Seigneux de Correvon s'en prend ensuite à ceux qui attaquent la religion et qui cherchent à la tourner en dérision, il estime qu'il s'agit d'un comportement impie et qui détourne l'homme de ses dévoirs. Au quotidien, il faut utiliser la prudence partout afin de ne pas tomber dans les pièges contamment tendus au-devant de l'homme et de sa conscience morale.
-
Mots-clés:
- Philosophie
- Vertu/vice
- Bonheur
- Imagination
- Droit/devoir
- Religion
- Christianisme
- Société
- Société savante/cercle/salon
- Assistance/hôpital/charité
- Philosophie
- Personne:
-
Société/Académie:
- Société littéraire du comte de la Lippe - Lausanne (1742-1747)
- Helder Mendes Baiao (intégrale/fini) [afficher]
Public
La présentation de Seigneux de Correvon fait suite à celle dont il s'était occupé à l'assemblée 62.
Public
Précisions concernant les "Seigneux":
Gabriel Seigneux de Correvon est dit "M. le Boursier Seigneux".
François Seigneux est appelé "M. l'Assesseur Ballival (Seigneux)".
Jean-Samuel Seigneux est nommé "M. le Bourgmestre (Seigneux)".