, « Essai sur l'Astrologie Judiciaire, ou Examen de cette Question, proposée par l'Académie des Belles-Lettres pour le Prix de l'Année 1750: "Quelle a été parmi les Hommes l'origine de l'Astrologie Judiciaire [...]" », Journal helvétique, septembre 1750, p. 219-236
- Anonyme (Auteur)
L'auteur se réfère à l'un de ses écrits antérieurs où il s'attaque à la magie; il estime que l'astrologie est également basée sur la superstition et est donc à combattre. En prétendant annoncer l'avenir, alors que seul Dieu le connaît. Dénonce la confiance des princes pour les astrologues. Le pouvoir devient arbitraire et tyrannique. Le futur des hommes dépend d'eux-mêmes et de la Providence.
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Mots-clés:
- Droit et justice
- Histoire
- 1. Antiquité/Histoire ancienne
- Littérature
- Genre - Essai
- Philosophie
- Providence
- Tolérance/fanatisme
- Raison
- Sciences
- Astronomie/astrologie
- Société
- Croyances/mythes/superstition
- Personne:
Public
Destinataire : "A Mr. B******* [Léonard Baulacre] très digne Ministre du St. Evangile, & Biblioth. à Genève."
Lieu: Genève
Exergue:
"Quod crebrò videt, non miratur, etiamsi, cur fiat nefcit, / Quod ante non vidit, id, si èvenerit ostentum esse censet. / Cicer."
"C'est-à-dire, / Voit-on souvent une chose, on ne l'admire point, quoi qu'on en ignore la cause, mais si on ne l'a point encore vue, on la regarde come un prodige."