Cette lettre témoigne de la réputation aquise par de Bochat et notamment par ses Mémoires critiques dont la parution du dernier volume est en cours. L'auteur juge les premiers volumes de l'ouvrage utiles pour le public et prédit « que la Postérité [les] réspectera ».
Cette lettre est signée « Chesterfield ». Il s'agit assurément de la main de Philip Stanhope, 4e comte de Chesterfield ( 1694-1773). Lord Chesterfield était un homme politique anglais et un grand amateur d'épigraphie. Il était également un homme de lettres respecté dans le milieu érudit européen, ce qui nous renseigne sur la réception des recherches du Lausannois au sein de l'élite antiquaire contemporaine.
Voir Henri Fluchère, «Chesterfield Philip Dormer Stanhope comte de (1694-1773)», Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 01.04.15.
KE- Histoire; Lieux géographiques; Littérature; 1. Antiquité/Histoire ancienne; Antiquaires/érudits; Archéologie; Histoire suisse; Philologie/paléographie; Angleterre; République des Lettres; Loys de Bochat, Charles Guillaume; Stanhope, Philip Dormer, 4th Earl of Chesterfield (1694-1773) UR- AC- DB- lumieres.VD LG- Français END